« Motchus le laïve » met le oaï à l’Opéra de Marseille

Culture | 0 commentaires

Par olivia

 Après Venelles en mai dernier, c’est à Marseille d’accueillir les fous-furieux du Motchus, de ceux qui vont même jusqu’à créer des laïves en plus de s’escagasser le teston sur leur grille tous les matins (ou tous les soirs, ça dépend de votre tchim…).

Au moins 150 fadas se sont donc rassemblés samedi 19 octobre dès 16h pour ce premier laïve marseillais qui s’est tenu dans un endroit iconique s’il en est : l’Opéra, fada. Rien que ça. Avec Médéric et Blaah aux manettes, cette édition a permis aux rhénés du Motchus, et aux autres, de s’esquicher les neurones en binôme. La règle est toujours la même : être le plus rapide à trouver le bon mot (et par marquer mal en public, s’il vous plaît) à partir de la première initiale du mot (un peu comme Motus, quoi…). 

Même le maire de St Denis, grand ami du nôtre visiblement, était sur place (et allez savoir ce qu’il a compris dans cette galéjade générale)… Le nôtre, de maire, a même ponctué son discours d’un « Aioli ! » final.

Deux heures plus tard, au terme de joutes diverses (et pas avariées) qu’un Alain Chabat de Burger Quiz ne nous aurait pas enviées, la partie s’achève. Et alors que certains roumèguent sévère de ne pas être en demi-finale, contrairement à notre journalisée préférée Laurence, force est de constater que Motchus est en train de devenir la variante marseillaise de l’expression « et au final c’est l’Allemagne qui gagne », vu que c’est Christophe (rhéné de la rédaction), cette fois en équipe avec son fils Yann, qui gagne encore une fois la partie. Comme à Venelles, il écrase ainsi de vitesse et de connaissances tous ses adversaires, piétinant au passage notre égo comme une vulgaire bordille : c’est que Christophe, en plus, est breton ! Si c’est pas malheureux… « A jamais le premier« , qu’il nous dit, en plus…

Etant donné le succès grandissant de l’édition, les deux créateurs du jeu, Médéric et Denis ne s’interdisent pas de rêver de l’autre salle de l’opéra : la grande. Attention toutefois, le public marseillais est nationalement connu pour être un public tarpin difficile : c’est qu’il y a encore quelques années, si la représentation n’était pas à la hauteur, les tomates fusaient en direction des chanteurs lyriques.

Alors Mefi !

Crédit Photo : Olivia

Retrouvez le véritable article de Laurence dans la Provence !

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Vé aussi

I feel Goudes II

Petite chanson dédiée a tous les rhénés – et les rhénées of course – de Motchus, à fredonner, sur l’air de « I feel Good » de James Brown. La chante en chœur pourrait être un gage donné à tous.tes les marque-mal condamnés à prendre le 19, juste avant de se jeter.

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Il fait un vent à …

Nous connaissons tous la truculente expression imagée : “Il fait un vent à décorner les cocus”. Eh bien savez-vous qu’en parler marseillais et provençal deux expressions proches sont attestées ?
“Il fait un vent à derrabber la queue aux ânes” et “Il fait un vent à débaner les chèvres (ou les cabres ce qui revient à la même chose)”.
Claude se propose de filer la métaphore avec cette expression venteuse en incluant un mot déjà sorti à Motchus ou une variante de ce mot.

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