Depuis Motchus, ma vie est une cagade
Par Beatrice
Témoignage de l’une des joueuses les plus ferventes…
Dès le matin escagassée, je me remue le teston pour remplir des cases bleues avec des lettres et ça dure l’an pèbre, puis je passe la matinée à l’agachon sur Twouiteur à espincher les résultats de Bé, Loule, Honorine, Zize, Cissou et autres. Je me roumègue à voir ces cacous et cagoles mieux réussir que moi et je marrone de longue, en leur souhaitant la gale et les bras courts.
A midi je mange un sandwouiche que je m’imagine broméger aux goudes, puis comme une dormiasse, je me tape un gros sieston qui m’encape au milieu de l’après-midi, où je me tanque au bar PMU pour y poser mon tafanari pour la fin de la journée.
Tourne-vire, arrive 20 heures où je rentre à la maison et rien n’est prêt, je bazarde une soupe d’esques aux minots qui me regarde, peuchère, avec des yeux de Gobi. Sur le canapé le soir j’écoute les podecastes de Médéric de « dîtes le en marseillais » pour faire ficelle au motchus et de 100% OM pour me consoler avec des chèvres.
Enfin je vais me coucher, non pas en pensant qu’il faudrait se lever le maffre et monter à la capitale pour trouver un travail, mais en rêvant ma foi, d’un estraïque matinal au Motchus qui fermeraient les grandes bouchasses de tous ces tchapacans »
Crédit photo : création TchatcheGPT, pas si mal au final, non ?
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Vé aussi
Un peu des Goudes, un peu des pirates et un peu d’un cabanon de mon frère.
Pour ce numéro esspécial de Motchus, retrouvons les souvenirs de Marja, l’une de nos plus grandes afficionadas (et pas afficionadasses, hein…) de Motchus dont la particularité est non seulement de ne pas être marseillaise mais d’être née et avoir passé la majorité de sa vie en … Finlande…
Viens !
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